Huile de cannabis contre le cancer
Nous avons reçu du grow shop Chu Majek des témoignages sur l'utilisation médicinale de l'huile de cannabis. "Il est possible de guérir du cancer et c'est ici que ça se passe", poursuit un autre lien. Ceci est l'un des nombreux commentaires au sujet d'une des nombreuses informations sur le cancer d'un journal en ligne espagnol important. Ce commentaire est puissant, direct, sans fissure, l'auteur est persuadé de ce qu'il dit.
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Qui n'a personne de proche qui a eu un cancer? Quasi personne. Moi aussi, malheureusement, j'ai eu des personnes très proches, pour certaines ce fut moins grave, pour d'autres, fatal. Je ne peux donc pas cacher qu'une telle affirmation m'a interpellé, cela méritait au moins un rapide coup d'oeil, pas vrai?
La vidéo de Rick Simpson
Click. Allons voir par là! C'est une vidéo YouTube, l'"Histoire de Rick Simpson". Serait-ce un épisode de Homer et de sa famille toute jaune? Non, je ne crois pas. Au fur et à mesure, je me rends compte de quoi parle cette histoire et je n'en reviens pas: elle parle de marijuana! Il s'agit d'un gars au Canada qui fait de l'extrait de marijuana qu'il applique sur la peau pour soigner son cancer. Ensuite, il en distribue à ses voisins et amis gratuitement, ce qui est très révélateur. Il obtient ainsi jusqu'en 2003 des témoignages de guérison. Est-ce la vérité? Pour ceux qui n'ont pas encore vu cette vidéo, il faut absolument aller la voir!
On sait depuis longtemps que le cannabis est un analgésique très efficace pour soulager la douleur, pour éviter les nausées causées par la chimiothérapie, pour dormir, ouvrir l'appétit, etc… des applications sans aucune doute très nobles mais qui ne représentent rien en comparaison à la puissance de ces mots: guérir du cancer. Oui, ce message est vraiment très fort.
En tant que modérateur et fumeur régulier de cannabis depuis des années, je ne pouvais rester sur ma première impression, avec l'illusion que cela est vrai, je ne pouvais acheter l'idée ainsi, sans la creuser. Il fallait que je garde un point de vue sceptique, dans le sens scientifique, comme on m'a appris à penser à l'université, une méthode pour faire des exposés en toute sécurité et de tirer les conclusions qui en ressortent. C'est ainsi que j'avance et cela ne peut pas être autrement avec une affirmation de cette ampleur. A cette époque, un parent proche venait d'annoncer à son médecin que son cancer été revenu, trois ans après son extraction.
C'est ici qu'a commencé une semaine pendant laquelle je n'ai fait que regarder des vidéos, lire des articles, enquêter sur les résultats, … L'idée était de voir pourquoi cela fonctionne, ou si cela pourrait fonctionner avec mon parent. J'ai lu des informations sur les cannabinoïdes, sur des expériences universitaires espagnoles et autres, je me suis inscrit sur des forums anglo-saxons (ils ont des années d'avance sur nous), et je me suis rendu compte qu'il y avait un tas de témoignages de patients de toutes sortes: tant de gens qui sont en train d'expérimenter et d'utiliser des remèdes à base de cannabis de manière légale dans tous les coins des Etats Unis. Et dans toute l'histoire médicale postprohibition, enfin des preuves…
Après cette semaine, je n'ai pu tirer qu'une seule conclusion: tout cela est vrai. Il existe du moins suffisamment de preuves empiriques et expérimentales pour que les autorités compétentes allouent des ressources pour une connaissance approfondie des cannabinoïdes et leur rôle important pour la santé, et pas seulement le cancer!
J'ai donc mis la main à la pâte.
Je souhaite ici raconter mon expérience, mes raisons, mes idées, mes interrogations et les espoirs. Je n'affirme pas être un quelconque expert de tout ça, mon expérience dans ce domaine est courte mais intense, avec des résultats prouvés comme beaucoup d'autres. Et si de cette manière, je peux en inciter d'autres à suivre le même chemin, cela en aura valu la peine.
Le système endocannabinoïde
Quand on navigue un peu dans le réseau, on se rend compte qu'il y a de nombreuses applications du cannabis et pourquoi elles fonctionnent. Le système endocannabinoïde, c'est de ça qu'il s'agit. A l'école, comme à tous, on m'a enseigné le système de la circulation sanguine, de l'appareil digestif, reproductif, du système nerveux, et plus tard, j'ai même appris ce qu'était le système lymphatique… mais jamais personne ne m'a parlé du système endocannabinoïde. Oui, cela existe bien dans le corps humain, ce n'est pas de la science fiction mais de la biologie.
Tout cela est assez récent et a commencé avec la découverte de quelques cellules de l'être humain particulièrement réceptives aux cannabinoïdes de la plante. On s'est rendu compte qu'elles se trouvent dans plusieurs parties du corps humain et on a cherché les mêmes récepteurs chez les autres espèces. Oh surprise!, ils sont présents chez les mammifères, les oiseaux, les amphibiens, les insectes, et toutes les bestioles vivantes… Ils ont alors pensé: "Bien, l'évolution n'a certainement pas mis ces récepteurs ici pour que 4 hippies fumeurs puissent se défoncer". De ce point de vue, ils ont commencé à identifier une série d'éléments: les neuromodulateurs produits par le corps humain lui-même, les anandamides qui ont une structure quasi identique à celle des cannabinoïdes produits par la marijuana, la seule plante à les produire en outre.
Aujourd'hui, on sait que ces endocannabinoïdes produits par notre organisme sont directement liés au système immunitaire chargé de la défense de l'organisme, ainsi qu'au système lymphatique, nerveux et à tous les autres processus fondamentaux pour notre santé. La plante de cannabis développe des composants organiques structurellement quasi identiques à ceux produits par le corps lui-même pour maintenir l'équilibre de la santé de l'organisme. Le THC et le CBD s'accouplent parfaitement avec nos récepteurs. Il n'y a pas eau plus limpide il me semble. Les gens qui ont une formation médicale devraient être obligés d'analyser tout ce qui est découvert dans ce domaine.
L'extrait de cannabis
Il faut dire que Rick Simpson fut un pionnier dans le domaine mais depuis lors, de nombreuses expériences réussies ont été menées avec des malades dans diverses parties du monde. Il existe plusieurs manières de faire des extractions de cannabinoïdes avec les plantes. Certaines personnes utilisent de l'essence, d'autres de l'alcool isopropylique, ou de l'alcool éthylique, du CO2, de l'huile extra vierge de coco, … Il est nécessaire de vérifier scientifiquement tous ces produits pour savoir quelle méthode est la plus efficace pour chaque situation. Mais il y a déjà de nombreuses réponses…
Mais même ainsi, il est important d'agir car sans acte, cela ne sert à rien. Au moment de mes premières expériences, je me suis penché sur les extraits purs de Rick Simpson. Il s'agit d'un produit très concentré en cannabinoïdes qui a fonctionné sur de nombreuses personnes. Le processus est en gros l'extraction des trichomes de la plante en les mélangeant à un dissolvant, de l'alcool à 99 degrés par exemple. Le liquide est ensuite filtré et laissé à évaporer jusqu'à ce que tout le dissolvant ait disparu et qu'il ne reste que les cannabinoïdes purs et durs.
Bien sûr, l'urgence nous pousse à faire de l'huile avec ce que l'on trouve mais quand c'est possible, il vaut mieux améliorer certains points du processus pour obtenir la médecine la plus puissante qu'on ait à sa portée. Je répète, il ne s'agit que de mon expérience, compatible avec celle de nombreux autres.
Variables des extraits
- On sait aujourd'hui que quand on fume, il n'y a qu'un faible pourcentage de THC qui est ingéré par le corps, le reste se perd dans la combustion. Avec de l'extrait, c'est 100% de THC. L'extrait est un concentré très élevé de cannabinoïdes (THC, CBD, CBN et autres), normalement au dessus des 50%. Certaines personnes disent obtenir plus de 95%. C'est pour cela que ça marche mieux en médecine que de fumer. L'excédent de l'extraction est la chlorophylle et des résidus végétaux. Dans notre cas, il s'agit de séparer les trichomes, c'est tout ce qui nous intéresse, de la matière végétale. Plus l'extrait sera pur en cannabinoïdes, plus il sera puissant, et meilleurs et plus rapides seront les résultats. Il produira également moins d'effets secondaires.
- Je préfère ne pas hacher les têtes avant de les mettre dans le dissolvant. Il y a ainsi moins de décomposition de matière végétale indésirée. Quand je les mets dans le dissolvant, je les pile avec un bâton.
- Si l'option choisie pour le dissolvant est l'alcool, il doit être de 99,5 ou 99,9 degrés. On peut l'acheter dans les magasins de produits chimiques. Celui de 96 degrés des pharmacies est pour les blessures et n'est pas très utile.
- Concernant la matière de départ, quand c'est possible, je préfère utiliser des variétés qui contiennent moins de THC mais plus de CBD. Il faut tenir compte des caractéristiques que nous connaissons des Indicas et Sativas et voir ce que souhaite le patient. Les hybrides fonctionnent très bien.
- Je préfère faire deux bains dans l'alcool. Avec le premier, on extrait 80% des cannabinoïdes et le reste avec le 2ème. Les bains sont rapides, 3 minutes, pour extraire moins de chlorophylle en même temps. Certaines personnes n'aiment pas ça.
- Il me semble beaucoup mieux d'éliminer l'alcool par évaporation à la chaleur à l'aide d'un autocuiseur électrique pour commencer et de terminer avec une couverture chauffante ou une résistance pour tasse pendant 4 ou 5 heures de plus. Bien entendu à l'air libre, sans fumer ni téléphoner à proximité. Non seulement ça va plus vite mais cela optimise également la décarboxylation et donne une médecine plus puissante. Ainsi on est plus sûr que tout le dissolvant (et les toxines) s'est évaporé.
- Une fois que c'est fait, plus le patient peut tolérer de prises sur le moins de temps possible, plus les résultats sont rapides. Pour cela, je préfère l'administrer seul, sans le diluer ou très peu et toujours en augmentant progressivement les doses si possible à si cela convient.
Dosage
On suppose que plus on ingère de cannabinoïdes, plus on nourrit les défenses de son organisme. Mais il ne faut pas la même quantité pour traiter un mal de tête que pour traiter un cancer. Dans tous les cas, la dose de départ doit être infime car elle va être administrée pure ou avec de l'huile d'olive. Mais s'il s'agit d'une substance très sûre et que personne ne meurt suite à une consommation de cannabis, notre organisme, même celui du fumeur régulier, n'est pas habitué à une telle concentration de cannabinoïdes. Si le matériel est très sativa, l'effet peu s'emballer et provoquer de l'anxiété. J'ai également vu une personne qui avait le mal de mer avec des hallucinations et de la tachycardie suite à l'ingestion d'une quantité trop importante.
Pour cette raison, il est important de ne prendre qu'une petite quantité, d'environ la taille de la tête d'une épingle, pendant trois jours. Le plus probable est qu'on ne ressente rien de spécial mais il faut rester attentif aux symptômes. Si la dose est mal tolérée, il suffit d'y aller plus doucement. Le patient doit se sentir bien et apprivoiser les effets. En mélangeant l'extrait à de l'huile d'olive, il est plus facile de le doser par goutte. Il faut expérimenter ainsi jusqu'à ce que la dose produise l'effet désiré, comme par exemple calmer une douleur. Si le motif est plus urgent, comme pourrait l'être un cancer, il est recommandé d'augmenter progressivement la dose jusqu'à atteindre le maximum toléré. Certaines personnes prennent un gramme d'extrait par jour ou plus; 60 grammes en 3 mois peuvent déjà suffire pour guérir. Dans mon expérience, il ne fut pas nécessaire d'aller jusqu'à cet extrême, il faut être fortement habitué pour ingérer une telle quantité.
Application sur le père d'un ami
Parmi les exemples, il y a le cas du père d'un ami, un chauffeur de bus retraité à qui on a diagnostiqué une inflammation de la prostate et un risque élevé de développer un cancer. Les symptômes ne sont pas très agréables: il avait besoin d'uriner toutes les demies heures et seules quelques petites gouttes sortaient, pas de jet, ce qui le forçait à ressayer de nombreuses fois, même la nuit, ce qui a à son tour provoqué des troubles du sommeil. Il a arrêté toute activité sexuelle, se sentait fatigué et déprimé. Son médecin lui a prescrit des pilules et lui a dit de revenir dans trois mois. Passé ce temps, l'inflammation a continué sans aucune amélioration.
Pour toutes les raisons déjà évoquées et comme le cannabis a également des propriétés anti-inflammatoires, je lui ai donné de l'extrait de marijuana pour son problème d'inflammation de la prostate. Je lui ai montré les vidéos et il a décidé d'essayer. Il a pris deux têtes d'épingle par jour et a commencé il y a quelques mois. Les résultats sont aujourd'hui plus que satisfaisants. Ce que n'a pas pu faire la médicine traditionnel, l'extrait de marijuana maison l'a fait. Chaque fois qu'il va aux toilettes pour uriner, tout sort d'un coup, avec un jet puissant comme cela doit être. Il n'a plus mal, il dort toute la nuit d'une traite, il se sent rajeuni et a retrouvé sa vie sexuelles. Il est pleinement satisfait et de bonne humeur.
Application à un parent
Il y a trois ans, on lui a détecté un type de cancer étrange dont l'origine se trouvait dans le pancréas. La chimio n'a pas fonctionné et personne ne voulait l'opérer car la maladie était déjà très avancée. Finalement, un chirurgien a osé intervenir et lui a enlevé plusieurs tumeurs et organes. Il a bien récupéré et a eu une vie normale pendant trois ans. Aujourd'hui, le cancer est revenu et s'attaque cette fois au foie, les images montrent plusieurs tumeurs de différentes tailles. Il a commencé à prendre de l'extrait de marijuana en prenant les précautions dont on a parlé pour le dosage. Comme la date d'une nouvelle opération était déjà fixée avec le même chirurgien, il n'était pas nécessaire d'être très agressif avec l'augmentation des doses. Il a ainsi continué à prendre entre 2 et 3 têtes d'épingle d'extrait pur jusqu'au jour de son opération, 1,5 mois après. Quand les chirurgiens l'ont ouvert, une des tumeurs avait disparu et l'autre avait réduit de taille. Ils ont bien nettoyé la zone et il a très bien récupéré. Il a donc passé moins de jours à l'hôpital que prévu. Actuellement, il ne prend plus qu'une dose de moins de 2 grammes par mois. Des cas comme celui-là, qui montrent la capacité du cannabis à freiner la croissance des tumeurs et à les réduire, il y en a des milliers.
Acide gras OMEGA 3
Mon parent en a pris dès le premier jour. Parmi ses avantages, il y a l'effet qui augmente fortement le potentiel médicinal (et récréatif également) de la marijuana. Il permet aux récepteurs de cannabinoïdes de notre organisme de rester actifs, ils servent de piste d'atterrissage à nos chers THC, CBD et compagnie. Il est dès lors fortement recommandé, comme vous le savez déjà, de manger autant que possible du poisson, du soja, de la mangue, de la chia et des noix. Les graines de chanvre sont également riches en Omega 3, quel hasard n'est-ce pas?
Pour les lecteurs sceptiques
Il s'agit ici d'attitudes très curieuses. Nous savons que 80 années de prohibition et de publicité négative de la marijuana ont lavé le cerveau d'une grande partie de la population mondiale. Il est normal jusqu'à un certain point que face à la phrase "La marijuana est une plante médicinale et peut guérir du cancer parmi d'autres choses", certains nous traitent de fous ou effrayés, appellent la police. Ce n'est pas non plus toujours le cas. D'autres vont écouter les arguments et être facilement convaincus, et vont même l'utiliser alors qu'ils n'ont jamais fumé un joint de leur vie.
Mais ce qui me surprend le plus est l'incrédulité et l'indifférence au sein des consommateurs de cannabis face à ceux qui leur disent la même chose: ""La marijuana est une plante médicinale et peut guérir du cancer parmi d'autres choses". A priori, on pourrait croire que les personnes qui fument du cannabis sont plus ouvertes à ce type d'affirmation. Mais j'ai rencontré des gens qui m'ont dit que j'hallucinais chaque fois que j'évoquais le sujet. Ils acceptent que cela puisse être utile dans certains cas mais ne croient pas que cela puisse avoir d'effet sur le cancer.
Chers amis, les preuves sont là, les faits aussi. En Europe, en Amérique du Nord et du Sud. Tout ce que je demande, c'est qu'ils se renseignent, qu'ils regardent quelques vidéos, qu'ils creusent le sujet et se fassent une idée personnelle. Je recommande toujours de voir l'"Histoire de Rick Simpson", le documentaire "Et si la marijuana guérissait du cancer?", le travail de Manuel Guzman de l'Université Complutense de Madrid et tous les résultats d'une recherche sur les endocannabinoïdes sur internet.
Et faire cela est très important car, en ultime recours, l'application médicinale de cette plante est le moyen le plus puissant pour justifier sa légalisation, pour ne plus laisser le choix tout simplement. Aux Etats Unis, plus d'un tiers des Etats délivrent aujourd'hui des prescriptions médicales pour la marijuana. La pression de la population pour raison de santé peut être la manière la plus rapide pour obtenir la légalisation complète. Rien que pour ça, selon moi, les consommateurs sceptiques devraient se nourrir de connaissances, s'impliquer et prendre parti.
Quelques conclusions
Bien entendu, personne ne dit que l'extrait de marijuana fonctionne toujours sur 100% des cas. Parfois, cela ne marche pas, c'est ainsi. Il y a de nombreuses variables qui entrent en jeu, on en connaît certaines et d'autres pas. L'état d'avancement de la maladie, la quantité et le type de chimiothérapie administrée, l'alimentation, la pureté et la puissance de l'extrait, tout cela sont des variables qui influencent le résultat final. Mais l'opportunité est là et toutes ces variables connues peuvent être optimisées et ça mérite la peine de tenter le coup. Et si ça ne se passe pas comme je l'ai dit, pourquoi est-ce que cela devrait être les laboratoires pharmaceutiques à faire des incursions dans les effets médicinaux de la plante? On sait que la plante de cannabis a des effets analgésiques, antiémétiques, antispasmodiques, antipsoriasiques, antibactériens, anti-inflammatoires, anti-diabétiques, antiépileptiques, anxiolytiques, antiseptiques et anti la prolifération des cellules tumorales. Il existe aujourd'hui divers médicaments soumis à prescription dérivés du cannabis. Parmi eux, il y a le Sativex, approuvé au Canada et dans divers pays d'Europe. Il est utilisé dans les cas de sclérose en plaque, améliore la mobilité des personnes et ralentit la maladie. Il suffit de le demander à son médecin. Il existe des hangars appartenant à l'industrie pharmaceutique où poussent des milliers de plantes, quel beau spectacle! Il y a de nombreuses entreprises pharmaceutiques qui misent sur cette plante et se préparent pour l'avenir.
Maintenant vous êtes au courant et pourrez destiner 5 ou 10 petits grammes de votre prochaine récolte pour faire votre propre médecine, votre extrait de cannabis et en faire usage. Que ce soit contre un mal de tête, un problème de peau, des nausées, des douleurs menstruelles… ou pour le donner à quelqu'un qui souffre d'un cancer, de sclérose, de diabète, d'arthrite, en le guidant dans sa consommation. Les universités, comme moteur de recherche, pourraient peut être approfondir leur connaissance. Nous-mêmes, en tant qu'individus responsables et cohérents, devons y apporter notre grain de sel.