Quoi de neuf dans la vape ?

Soft Secrets
27 Oct 2017
On ne le dira jamais assez : fumer tue ! Au delà du message quelque peu anxiogène, la combustion est aussi très mauvaise pour votre herbe, car elle détruit une bonne partie des principes actifs qu’elle contient. C’est un fait. La vaporisation est un sujet qui me tient particulièrement à cœur, pour avoir changé ma vie, et à coup sûr celle de nombreux autres fumeurs désormais convertis. Quel bonheur de déguster son herbe sans la carboniser, et de ressentir les seuls effets des cannabinoïdes, sans l’ivresse associée au monoxyde de carbone. La vaporisation est certainement l’avancée la plus bénéfique de ces dernières années, en termes de réduction des risques. Mais pas seulement. Aujourd’hui on voit partout ces dispositifs permettant d’inhaler, sans porter atteinte à sa santé, son herbe, sa résine ou son huile. Vapos de salon ou nomades, manuels, par conduction ou convection, faisons un tour d’horizon des avancées dans le domaine de la vaporisation. Je vous propose également un test approfondi de deux vapos portables, le Grasshopper et l’Arizer Air, deux poids lourds dans leur catégorie. C’est parti ! [caption id="attachment_5743" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? Convection et conduction.[/caption]

La vaporisation, c’est quoi déjà ?

Au delà du principe purement physique, on parle de vaporisation du Cannabis lorsque l’on l’amène à une température donnée, afin d’en inhaler la vapeur, sans dépasser le point de combustion (au delà de 270°C en l’occurrence). La température nécessaire à la vaporisation des cannabinoïdes est comprise entre 120°C et 220°C, et la plage « idéale » se situe entre 170° et 200°C. Sachant que la braise d’un joint ou le foyer d’un bang peuvent atteindre et même dépasser les 400°C, on comprends bien pourquoi la combustion est loin d’être le meilleur moyen de consommer le Cannabis. Forts de ces informations, de nombreux fabricants conçoivent et commercialisent des vaporisateurs dédiés. Ils peuvent être de salon ou nomades, électriques ou mécaniques, l’offre est pléthorique et ça n’est pas prêt de s’arrêter.

Convection VS Conduction

Parmi les vapos électriques, deux techniques sont employées pour chauffer la matière. La conduction est la plus ancienne méthode, elle consiste à chauffer un élément sur lequel est déposé la substance. C’est rapide, mais ça comporte des inconvénients, car la partie qui est au contact va forcément atteindre plus rapidement la température idéale alors que le reste de l’herbe est épargnée. Pour tirer meilleur avantage de cette méthode, il est préférable de mélanger le contenu du foyer, avant de relancer un cycle de chauffe, ce qui peut être un inconvénient pour l’utilisateur pressé, et pour l’utilisateur débutant. Ce qui nous amène à la seconde méthode, la convection. Dans ce cas, l’élément chauffant n’est pas au contact direct de l’herbe. La chaleur est répartie et permet une vaporisation plus homogène, malgré un temps de chauffe généralement plus long. Les vaporisateurs à convection sont aussi souvent plus chers que ceux à conduction, du fait de la complexité de fabrication. Ils sont aussi souvent plus récents. [caption id="attachment_5744" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? Volcano, l’indétrônable vaporisateur de Storz & Bickel.[/caption]

Les vaporisateurs en 2017, ou en est-on ?

Depuis le début des années 2000, mais surtout depuis l’avènement de la e-cigarette, les vaporisateurs se démocratisent. D’abord vendus comme dispositifs destinés à l’aromathérapie, et plus généralement à usage médical, il n’a pas fallu longtemps avant que des dizaines de modèles fassent leur apparition. Parmi les références de salon, citons d’abord le mythique « Volcano », de Storz & Bickel, premier véritable vaporisateur à avoir fait son apparition, il est, aujourd’hui encore, considéré comme le meilleur vapo du monde. Son fonctionnement, basé sur de l’air pulsé vers un ballon qui stocke la vapeur, en fait un redoutable outil, tout en étant ludique. En face, sur le même principe Arizer a sorti le « V-Tower » puis le « Extrême Q », de solides concurrents du « Volcano ». Tous deux très efficaces. Dans le haut voire le très haut de gamme, il y a le fameux « Sublimator », un dispositif conçu par un Canadien passionné. Le « Sublimator » fonctionne en deux temps, un premier cycle de chauffe va générer la vapeur qui sera dirigée vers un atomiseur, dans lequel cette vapeur va être sublimée, pour être mieux absorbée. Le résultat est assez stupéfiant, sans mauvais jeu de mot. On a un arôme puissant et une quantité de vapeur supérieure aux autres dispositifs. Je vous recommande de l’essayer si vous avez l’occasion d’aller sur les salons, c’est une expérience à part. Je ne peux pas ne pas citer d’autres modèles tels que le « Plenty » de Storz & Bickel, le « De Verdamper » de l’inventeur du même nom, et l’ « Aromed » qui misent tous les deux sur la préservation des arômes. Parmi les dispositifs nomades, très (trop ?) nombreux, je ne citerai que ceux qui sont, d’après moi, les meilleurs. Je commencerai par le « Storm », conçu par « Vapefiend » un distributeur de la première heure de vapos qui a décidé de produire son propre matériel. Le « Storm » est très abordable (moins de 100 euros) et très efficace. C’est le meilleur rapport qualité/prix. Citons le « Pax 3 » de Ploom qui est un excellent vapo nomade, à la réputation sans tâche, et le « Firefly 2 » créé par un ancien ingénieur d’Apple. Citons aussi le « Haze » qui est sorti en nouvelle version, avec 2 foyers, dont l’un permet de vaporiser les concentrés. Storz & Bickel a aussi sorti deux vapos nomades, le « Mighty » et le « Crafty », qui, comme on pouvait l’imaginer sont d’excellents vapos. Le « Grasshopper » et le « Air », bien sûr, figurent dans ce top. Pour conclure, si je devais vous conseiller pour le choix de votre prochain vapo, je vous dirais de bien vous informer. Pensez à l’autonomie et à la durabilité des batteries, à la garantie, aux dimensions. Prenez le temps de lire les avis sur internet, et faites votre choix. [caption id="attachment_5745" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? JPG L’herbe, une fois vaporisée.[/caption]

Vaporisateurs manuels

En dehors des vapos électriques, il existe bon nombre de références de vapos dits « manuels ». Ces dispositifs fonctionnent grâce à des briquets classiques, même si il est préférable d’utiliser un briquet tempête. La plupart du temps, ces vapos manuels se composent d’un foyer en verre, et d’un corps permettant l’inhalation, à l’image d’une pipe. Ils peuvent être très efficaces, mais demandent pas mal d’entrainement pour être maitrisés. Citons Vaporgénie, Vaponic, Eclipse, Eagle Bill, les modèles sont assez nombreux et souvent peu onéreux. Pour ma part, j’ai conservé un Eclipse vape pour vaporiser du BHO, par exemple, c’est vraiment très efficace. Globalement le fonctionnement est le même pour tous. On dépose la substance souhaitée dans le foyer, on chauffe gentiment à l’aide d’un briquet puis on inhale la vapeur produite. Souvent c’est au moment de l’inhalation que la vapeur est visible, du fait de la circulation d’air généré. Encore une fois, c’est efficace, mais ça demande de l’expérience. C’est toutefois un très bon choix pour les petits budgets.

Arizer Air et Grasshopper : La convection nomade

J’ai choisi de parler plus en détail de ces deux vapos portables, car ils sont ceux que j’utilise à titre personnel, et c’est un choix que j’ai fait après beaucoup d’essais et de recherches. Je peux donc en parler très concrètement. Commençons par l’Arizer « Air », qui est une évolution du « Solo ». D’un format compact, il embarque un accu interchangeable de type 18650. Il emploie, comme son prédécesseur, et, bien qu’ils soient plus courts, un système de tubes en verre, que l’on insère dans le corps après l’avoir chargé en herbe. On règle la température via plusieurs présélections, et une fois celle-ci atteinte, après 30 à 60 secondes selon la température extérieure, on inhale lentement au travers du tube. On obtient rapidement une vapeur assez importante et la restitution des arômes est excellente. La restitution du goût est ce qui m’a fait choisir le « Air », en plus du fait qu’il utilise des batteries standard. Livré avec deux tubes, une batterie et une pochette de transport, et vendu au prix moyen de 180€. L’Arizer Air est un vapo nomade à convection très performant et durable. Le « Grasshopper » quant à lui, fait beaucoup couler d’encre. Initialement financé en crowdfunding, il a été conçu avec des matériaux ultra résistants par des anciens ingénieurs en aéronautique. En acier inoxydable ou en titane et garantie à vie, le « Grasshopper » annonce d’entrée la couleur : c’est du sérieux. Le système de chauffe par convection atteint la température choisie en 5 secondes seulement. Très discret, il ressemble à un beau stylo en métal, et il suffit d’y ajouter une pièce en silicone pour pouvoir l’utiliser. Ce morceau de silicone permet de poser les lèvres sans se brûler sur le dispositif, pour inhaler. Fonctionnant sur batterie interchangeable, il emploie 45W de puissance. Le réglage de la température se fait via une molette, permettant de choisir une valeur comprise entre 130° et 210°C. A l’usage, on apprécie sa discrétion, qui permet de l’emmener vraiment partout, puis, sa rapidité à chauffer et enfin, son efficacité. La vapeur produite est importante et le goût est excellent, même si je dois avouer qu’il est un poil en dessous du Arizer « Air », sur ce point, mais au global, on a là un vapo discret, solide, rapide et effectif, que demander de plus ? [caption id="attachment_5746" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? Eclipse, le vaporisateur manuel.[/caption] Quel bonheur de déguster son herbe sans la carboniser, et de ressentir les seuls effets des cannabinoïdes, sans l’ivresse associée au monoxyde de carbone. La vaporisation est certainement l’avancée la plus bénéfique de ces dernières années, en termes de réduction des risques. Mais pas seulement. Aujourd’hui on voit partout ces dispositifs permettant d’inhaler, sans porter atteinte à sa santé, son herbe, sa résine ou son huile. Vapos de salon ou nomades, manuels, par conduction ou convection, faisons un tour d’horizon des avancées dans le domaine de la vaporisation. Je vous propose également un test approfondi de deux vapos portables, le Grasshopper et l’Arizer Air, deux poids lourds dans leur catégorie. C’est parti !

La vaporisation, c’est quoi déjà ?

Au delà du principe purement physique, on parle de vaporisation du Cannabis lorsque l’on l’amène à une température donnée, afin d’en inhaler la vapeur, sans dépasser le point de combustion (au delà de 270°C en l’occurrence). La température nécessaire à la vaporisation des cannabinoïdes est comprise entre 120°C et 220°C, et la plage « idéale » se situe entre 170° et 200°C. Sachant que la braise d’un joint ou le foyer d’un bang peuvent atteindre et même dépasser les 400°C, on comprends bien pourquoi la combustion est loin d’être le meilleur moyen de consommer le Cannabis. Forts de ces informations, de nombreux fabricants conçoivent et commercialisent des vaporisateurs dédiés. Ils peuvent être de salon ou nomades, électriques ou mécaniques, l’offre est pléthorique et ça n’est pas prêt de s’arrêter.

Convection VS Conduction

Parmi les vapos électriques, deux techniques sont employées pour chauffer la matière. La conduction est la plus ancienne méthode, elle consiste à chauffer un élément sur lequel est déposé la substance. C’est rapide, mais ça comporte des inconvénients, car la partie qui est au contact va forcément atteindre plus rapidement la température idéale alors que le reste de l’herbe est épargnée. Pour tirer meilleur avantage de cette méthode, il est préférable de mélanger le contenu du foyer, avant de relancer un cycle de chauffe, ce qui peut être un inconvénient pour l’utilisateur pressé, et pour l’utilisateur débutant. Ce qui nous amène à la seconde méthode, la convection. Dans ce cas, l’élément chauffant n’est pas au contact direct de l’herbe. La chaleur est répartie et permet une vaporisation plus homogène, malgré un temps de chauffe généralement plus long. Les vaporisateurs à convection sont aussi souvent plus chers que ceux à conduction, du fait de la complexité de fabrication. Ils sont aussi souvent plus récents. [caption id="attachment_5747" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? L’Arizer Air, successeur du « Solo ».[/caption]

Les vaporisateurs en 2017, ou en est-on ?

Depuis le début des années 2000, mais surtout depuis l’avènement de la e-cigarette, les vaporisateurs se démocratisent. D’abord vendus comme dispositifs destinés à l’aromathérapie, et plus généralement à usage médical, il n’a pas fallu longtemps avant que des dizaines de modèles fassent leur apparition. Parmi les références de salon, citons d’abord le mythique « Volcano », de Storz & Bickel, premier véritable vaporisateur à avoir fait son apparition, il est, aujourd’hui encore, considéré comme le meilleur vapo du monde. Son fonctionnement, basé sur de l’air pulsé vers un ballon qui stocke la vapeur, en fait un redoutable outil, tout en étant ludique. En face, sur le même principe Arizer a sorti le « V-Tower » puis le « Extrême Q », de solides concurrents du « Volcano ». Tous deux très efficaces. Dans le haut voire le très haut de gamme, il y a le fameux « Sublimator », un dispositif conçu par un Canadien passionné. Le « Sublimator » fonctionne en deux temps, un premier cycle de chauffe va générer la vapeur qui sera dirigée vers un atomiseur, dans lequel cette vapeur va être sublimée, pour être mieux absorbée. Le résultat est assez stupéfiant, sans mauvais jeu de mot. On a un arôme puissant et une quantité de vapeur supérieure aux autres dispositifs. Je vous recommande de l’essayer si vous avez l’occasion d’aller sur les salons, c’est une expérience à part. Je ne peux pas ne pas citer d’autres modèles tels que le « Plenty » de Storz & Bickel, le « De Verdamper » de l’inventeur du même nom, et l’ « Aromed » qui misent tous les deux sur la préservation des arômes. Parmi les dispositifs nomades, très (trop ?) nombreux, je ne citerai que ceux qui sont, d’après moi, les meilleurs. Je commencerai par le « Storm », conçu par « Vapefiend » un distributeur de la première heure de vapos qui a décidé de produire son propre matériel. Le « Storm » est très abordable (moins de 100 euros) et très efficace. C’est le meilleur rapport qualité/prix. Citons le « Pax 3 » de Ploom qui est un excellent vapo nomade, à la réputation sans tâche, et le « Firefly 2 » créé par un ancien ingénieur d’Apple. Citons aussi le « Haze » qui est sorti en nouvelle version, avec 2 foyers, dont l’un permet de vaporiser les concentrés. Storz & Bickel a aussi sorti deux vapos nomades, le « Mighty » et le « Crafty », qui, comme on pouvait l’imaginer sont d’excellents vapos. Le « Grasshopper » et le « Air », bien sûr, figurent dans ce top. Pour conclure, si je devais vous conseiller pour le choix de votre prochain vapo, je vous dirais de bien vous informer. Pensez à l’autonomie et à la durabilité des batteries, à la garantie, aux dimensions. Prenez le temps de lire les avis sur internet, et faites votre choix.

Vaporisateurs manuels

En dehors des vapos électriques, il existe bon nombre de références de vapos dits « manuels ». Ces dispositifs fonctionnent grâce à des briquets classiques, même si il est préférable d’utiliser un briquet tempête. La plupart du temps, ces vapos manuels se composent d’un foyer en verre, et d’un corps permettant l’inhalation, à l’image d’une pipe. Ils peuvent être très efficaces, mais demandent pas mal d’entrainement pour être maitrisés. Citons Vaporgénie, Vaponic, Eclipse, Eagle Bill, les modèles sont assez nombreux et souvent peu onéreux. Pour ma part, j’ai conservé un Eclipse vape pour vaporiser du BHO, par exemple, c’est vraiment très efficace. Globalement le fonctionnement est le même pour tous. On dépose la substance souhaitée dans le foyer, on chauffe gentiment à l’aide d’un briquet puis on inhale la vapeur produite. Souvent c’est au moment de l’inhalation que la vapeur est visible, du fait de la circulation d’air généré. Encore une fois, c’est efficace, mais ça demande de l’expérience. C’est toutefois un très bon choix pour les petits budgets. [caption id="attachment_5748" align="alignnone" width="500"]Quoi de neuf dans la vape ? Le fameux Grasshopper version Titane.[/caption]

Arizer Air et Grasshopper : La convection nomade

J’ai choisi de parler plus en détail de ces deux vapos portables, car ils sont ceux que j’utilise à titre personnel, et c’est un choix que j’ai fait après beaucoup d’essais et de recherches. Je peux donc en parler très concrètement. Commençons par l’Arizer « Air », qui est une évolution du « Solo ». D’un format compact, il embarque un accu interchangeable de type 18650. Il emploie, comme son prédécesseur, et, bien qu’ils soient plus courts, un système de tubes en verre, que l’on insère dans le corps après l’avoir chargé en herbe. On règle la température via plusieurs présélections, et une fois celle-ci atteinte, après 30 à 60 secondes selon la température extérieure, on inhale lentement au travers du tube. On obtient rapidement une vapeur assez importante et la restitution des arômes est excellente. La restitution du goût est ce qui m’a fait choisir le « Air », en plus du fait qu’il utilise des batteries standard. Livré avec deux tubes, une batterie et une pochette de transport, et vendu au prix moyen de 180€. L’Arizer Air est un vapo nomade à convection très performant et durable. Le « Grasshopper » quant à lui, fait beaucoup couler d’encre. Initialement financé en crowdfunding, il a été conçu avec des matériaux ultra résistants par des anciens ingénieurs en aéronautique. En acier inoxydable ou en titane et garantie à vie, le « Grasshopper » annonce d’entrée la couleur : c’est du sérieux. Le système de chauffe par convection atteint la température choisie en 5 secondes seulement. Très discret, il ressemble à un beau stylo en métal, et il suffit d’y ajouter une pièce en silicone pour pouvoir l’utiliser. Ce morceau de silicone permet de poser les lèvres sans se brûler sur le dispositif, pour inhaler. Fonctionnant sur batterie interchangeable, il emploie 45W de puissance. Le réglage de la température se fait via une molette, permettant de choisir une valeur comprise entre 130° et 210°C. A l’usage, on apprécie sa discrétion, qui permet de l’emmener vraiment partout, puis, sa rapidité à chauffer et enfin, son efficacité. La vapeur produite est importante et le goût est excellent, même si je dois avouer qu’il est un poil en dessous du Arizer « Air », sur ce point, mais au global, on a là un vapo discret, solide, rapide et effectif, que demander de plus ? Par Bub
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