Le Prince Harry, fumeur de joints
Dans sa biographie très attendue, le Prince Harry raconte ses expériences avec les drogues : cannabis, champignons hallucinogènes et cocaïne.
Le Prince Harry, duc du Sussex, est le deuxième fils du roi Charles III et de Diana Spencer. Dans sa biographie intitulé « Le Suppléant », le Prince raconte son expérience avec les drogues, en donnant quelques détails, et créé un buzz dans les médias britanniques et internationaux.
Le comportement du Prince Harry provoque depuis longtemps la polémique. Il n’avait que 17 ans lorsque la presse people a révélé sa consommation de cannabis. En Janvier 2005, le journal The Sun a publié une photo de Harry déguisé en nazi dans un bal costumé.
Le 19 mai 2018, le Prince a épousé l’actrice américaine Meghan Markle. Le 8 janvier 2020, il y a exactement 3 ans, le couple a annoncé son intention de mettre fin à leur obligations royales et de devenir financièrement indépendants.
Dans sa biographie, le Prince raconte entre autres ses différents avec sa famille et notamment avec son frère William avec lequel il s’est battu physiquement. Il raconte également quelques anecdotes sur sa consommation de weed et de cocaïne. Très touché par la disparition de sa mère en 1997 alors qu’il n’avait que 13 ans, il était alors très malheureux ce qui justifie sa consommation de drogues.
Le Prince Harry révèle quelques anecdotes. Il a notamment fumé du cannabis juste après son premier rendez-vous avec Meghan Markle. Le Prince a expérimenté les champignons hallucinogènes. Durant son trip, il a confondu une poubelle dans les toilettes avec un monstre
Harry a également pris de la cocaïne : « Chez quelqu'un, lors d'un week-end de chasse, on m'a proposé une ligne et ensuite j'en ai pris à nouveau. Ce n'était pas très amusant et ça ne m'a pas rendu vraiment heureux, mais ça m'a fait me sentir différent et c'était mon objectif principal, me sentir différent. J'étais un jeune de 17 ans profondément malheureux,… »
En 2015, le Prince a arrêté toutes les drogues sauf le cannabis : « Je ne sortais plus mais je fumais un joint dans le jardin après le travail quand j'étais à la maison. Je me suis ensuite assuré que l'odeur de fumée n'atteignait pas les voisins. »
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Olivier F
