Du cannabis gratuit pour les sans-abris

Soft Secrets
11 Sep 2014

Des dispensaires tenus de donner au moins 2% aux moins fortunés de Berkeley


Des dispensaires tenus de donner au moins 2% aux moins fortunés de Berkeley

Berkeley en Californie, une des villes les plus progressistes aux États-Unis, offrira dorénavant du cannabis gratuit aux sans-abris et citoyens à faible revenu.

Depuis le mois d’août, les dispensaires de marijuana médicale sont tenus de donner au moins 2 % de leur production de cannabis aux résidents moins fortunés et aux sans-abris de la ville, rapporte le New York Times.

Cette nouvelle mesure a été approuvée à l’unanimité cet été par le Conseil municipal de la ville dans l’espoir de rendre le cannabis plus accessible aux gens qui en ont besoin pour des raisons médicales, mais qui n’ont pas les moyens d’en payer les frais.

Seuls les résidents de Berkeley sont admissibles et ils doivent présenter une preuve de revenu de moins de 32 000 $ par an.

Berkeley est déjà reconnue pour ses valeurs et ses politiques très libérales, mais cette nouvelle a sans surprise été fortement critiquée.

«Au lieu de prendre des mesures pour aider les citoyens les plus vulnérables à se sortir de leur situation, la ville a plutôt décidé de les droguer», a déclaré au New York Times John Lovell, un lobbyiste pour la California Narcotic Officers’ Association.

Selon M. Lovell, rendre le cannabis gratuit découragerait ces personnes à se chercher du travail.

Le cannabis pourrait aussi être facilement revendu dans la rue pour ceux qui sont à court d'argent.

Selon le New York Times, Tom Bates, le maire de Berkeley, a déclaré que la ville essayait simplement de garantir un plus grand accès à ce «médicament» utilisé pour soulager la douleur lors de traitements contre le cancer et d’autres maladies.

La Californie a été le premier État aux États-Unis à légaliser le cannabis pour usage médical il y a 20 ans.

 

Berkeley en Californie, une des villes les plus progressistes aux États-Unis, offrira dorénavant du cannabis gratuit aux sans-abris et citoyens à faible revenu.

Depuis le mois d’août, les dispensaires de marijuana médicale sont tenus de donner au moins 2 % de leur production de cannabis aux résidents moins fortunés et aux sans-abris de la ville, rapporte le New York Times.

Cette nouvelle mesure a été approuvée à l’unanimité cet été par le Conseil municipal de la ville dans l’espoir de rendre le cannabis plus accessible aux gens qui en ont besoin pour des raisons médicales, mais qui n’ont pas les moyens d’en payer les frais.

Seuls les résidents de Berkeley sont admissibles et ils doivent présenter une preuve de revenu de moins de 32 000 $ par an.

Berkeley est déjà reconnue pour ses valeurs et ses politiques très libérales, mais cette nouvelle a sans surprise été fortement critiquée.

«Au lieu de prendre des mesures pour aider les citoyens les plus vulnérables à se sortir de leur situation, la ville a plutôt décidé de les droguer», a déclaré au New York Times John Lovell, un lobbyiste pour la California Narcotic Officers’ Association.

Selon M. Lovell, rendre le cannabis gratuit découragerait ces personnes à se chercher du travail.

Le cannabis pourrait aussi être facilement revendu dans la rue pour ceux qui sont à court d'argent.

Selon le New York Times, Tom Bates, le maire de Berkeley, a déclaré que la ville essayait simplement de garantir un plus grand accès à ce «médicament» utilisé pour soulager la douleur lors de traitements contre le cancer et d’autres maladies.

La Californie a été le premier État aux États-Unis à légaliser le cannabis pour usage médical il y a 20 ans.

Source: http://www.journaldemontreal.com/

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