Bientôt la récolte!
Pour l’heure, vos plantes ont commencé à entrer en floraison et, à partir de ce moment, il faut soit arrêter les arrosages, s’il pleut quelques fois, soit les espacer. L’idéal, à partir de ce moment, c’est de les arroser le moins possible. Par contre, s’il se met à faire trop sec, les plantes peuvent commencer à en souffrir : ce qui se voit avec les feuilles qui, au lieu d’être bien tendu vers l’horizon, se mettent à fléchir, alors qu’un grand nombre d’entre-elles se mettent à jaunir brusquement.
Pour l’heure, vos plantes ont commencé à entrer en floraison et, à partir de ce moment, il faut soit arrêter les arrosages, s’il pleut quelques fois, soit les espacer. L’idéal, à partir de ce moment, c’est de les arroser le moins possible. Par contre, s’il se met à faire trop sec, les plantes peuvent commencer à en souffrir : ce qui se voit avec les feuilles qui, au lieu d’être bien tendu vers l’horizon, se mettent à fléchir, alors qu’un grand nombre d’entre-elles se mettent à jaunir brusquement.
Pour l’heure, vos plantes ont commencé à entrer en floraison et, à partir de ce moment, il faut soit arrêter les arrosages, s’il pleut quelques fois, soit les espacer. L’idéal, à partir de ce moment, c’est de les arroser le moins possible. Par contre, s’il se met à faire trop sec, les plantes peuvent commencer à en souffrir : ce qui se voit avec les feuilles qui, au lieu d’être bien tendu vers l’horizon, se mettent à fléchir, alors qu’un grand nombre d’entre-elles se mettent à jaunir brusquement.
Lorsque l’on parle d’entrer en floraison, il ne s’agit pas de la différentiation sexuelle, qui peut se voir beaucoup plus tôt. C’est lorsque les bouts des tiges commencent à se tasser sur leurs extrémités et se concentrent dessus des sortes de grappes touffues de petites feuilles, les bractées, au milieu desquels se développent les pistils, et qui sont composées par pair de courts filaments blancs, les stigmates. C’est eux qui reçoivent normalement les grains de pollen qui proviennent d’un pied mâle, celui que l’on a sélectionné pour ses qualités de robustesse et de santé, et qui seront ainsi fécondés pour devenir une graine.
Nous reviendrons sur les meilleures techniques pour obtenir des graines, ainsi qu’à l’opposé, pour produire de la vraie sinsemilla. Si l’on privilégie cette dernière, c’est pour une raison simple : cela produit une réaction de la plante pour se protéger. Toute son énergie, qui ne va pas être utilisée pour produire des graines, va permettre de développer un ensemble de toutes petites feuilles qui composent les têtes. Ainsi, on va voir se multiplier à l’infini, sur toutes les bractées, des gouttelettes de résines, qui sont maintenues sur un genre de pied, un peu à la manière d’un champignon, les trichomes glandulaires. L’intérêt du planteur est de produire des têtes les plus grosses possibles car plus elles sont grosses, plus elles vont pouvoir sécréter une grande quantité de résine. Il faut voir que, contrairement à beaucoup de produits comparables, la quantité ne s’oppose pas à la qualité.
Enfin, pour cela, il ne faut pas oublier une chose, trop souvent négligée par nombre de cannabiculteurs et même décriée par certains. A mon avis, c’est qu’ils n’ont pas tout compris au fonctionnement de la plante. Si l’on veut que les têtes grossissent sur toute la plante, de manière à peu près uniforme, il faut ne pas hésiter à effeuiller, laisser la lumière entrer de partout, pour que toutes les têtes, quels que soient leurs emplacements, puissent recevoir leurs parts des rayons du soleil. Sans lumière, pas de développement et seules les parties les mieux illuminées de la plante vont se mettre à grossir et à produire de la résine. D’autant plus, qu’en dehors des plus petites feuilles, les grosses feuilles ne servent plus à rien et leur bilan est négatif. Elles consomment bien plus d’énergie pour leur survie qu’elles n’apportent à la plante.
En conséquence, l’effeuillage doit se faire progressivement, en plusieurs étapes, après avoir débarrassé toutes les grosses feuilles et toutes celles qui sont inutiles. Ces dernières sont situées au début des branches et n’ont pas fait de bourgeon. Ensuite, il faut continuer par enlever toutes les feuilles dont les bourgeons, à la base du pétiole, ont bien démarré. Enfin, il faut commencer à se débarrasser du maximum de feuilles restantes dans les jours qui précèdent la cueillette. C’est aussi le meilleur moyen de prévenir le développement des moisissures, surtout par temps humide.
Voilà pour conclure aujourd’hui, et comme nous venons juste d’en parler, la récolte sera le sujet de notre prochain article.