De l'ORMUS pour récolter PLUS!

Soft Secrets
08 Nov 2016

Que l’on y croit ou que l'on n'y croit pas, force est de constater la présence de beaucoup d’aspects d'un genre mystérieux et magique dans l'histoire. La pierre philosophale, l'énergie Orgone, le Prana, le Chi, le Saint-Graal, la Grande Pyramide et l'Arche de l'Alliance sont quelques-unes de ces énigmes.


 L’ORMUS est un défi pour les scientifiques. Des pratiques en agriculture furent effectuées avec des résultats impressionnants sur la précocité, la taille des végétaux et leur qualité gustative. Ses bénéfices pour l’être humain lui-même sont extraordinaires (glande pinéale). Pourtant cette substance magique est peu connue, très peu étudiée, diffusée et mentionnée dans des articles.

 

Que l’on y croit ou que l'on n'y croit pas, force est de constater la présence de beaucoup d’aspects d'un genre mystérieux et magique dans l'histoire. La pierre philosophale, l'énergie Orgone, le Prana, le Chi, le Saint-Graal, la Grande Pyramide et l'Arche de l'Alliance sont quelques-unes de ces énigmes. L’ORMUS est un défi pour les scientifiques. Des pratiques en agriculture furent effectuées avec des résultats impressionnants sur la précocité, la taille des végétaux et leur qualité gustative. Ses bénéfices pour l’être humain lui-même sont extraordinaires (glande pinéale). Pourtant cette substance magique est peu connue, très peu étudiée, diffusée et mentionnée dans des articles.

Une alchimie redécouverte

L’histoire débute en 1976 à Phoenix en Arizona et David Hudson, riche agriculteur cotonnier possédant des dizaines de milliers d’acres de terre est le principal acteur de cette renaissance. Dans ce pays, le sol est particulièrement riche en sodium et il est souvent traité à l’acide sulfurique. Ainsi, le mélange eau et acide, peu à peu, brise la croute alcaline et en y ajoutant du carbonate de Calcium on obtient en quelques années un sol convenant aux cultures. Soumise à de tels traitements et après de fortes pluies, la terre sèche s’est mise à produire une intense lueur blanche. Par la suite cet « or blanc » disparaissait totalement, puis revenait cycliquement après un orage… Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares, alors, Mr.Hudson entreprend d’en commander l’analyse quantitative complète. Stupéfaits, les chercheurs constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique ! L’analyse du spectre fut alors prolongée et ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques qui révèle la présence de métaux précieux.

Cette substance enfin identifiée révéla un mélange de fer, de silice et d’aluminium et surtout 98% de métaux nobles du groupe des platines (ruthénium, Rhodium, Iridium et Osmium) que l’on prenait donc pour du « nul » lors des premières analyses. Hudson fit déposer 22 brevets sur ce que l’on appelait maintenant des ORME (Orbitally Rearranged Monoatomic Element) ou EMOR (Element Monoatomique à Orbites Réorganisées). Le terme ORMUS quant à lui, est le nom générique employé pour toute préparation contenant ces éléments. Certaines préparations Ormus sont élaborées à partir d'or, on obtient alors de l'or à l'état-M, d’autres sont préparées à partir du cuivre, on obtient alors du cuivre à l'état-M. Une autre méthode d'extraction, qui demeure la plus pratiquée, est ce que l'on nomme la méthode "humide", où l' Ormus est préparé à partir de sel brut puisque contenant naturellement un large spectre de minéraux. Le résultat de cette lente préparation est considérée comme une transmutation des minéraux présent dans le sel vers leur forme à l’état-M. Disposant de moyens financiers considérables, Hudson décide de pousser plus loin les investigations, et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent dans le brevet qu’il a déposé. Les tests visant a fournir toutes les données nécessaires aux accréditations et brevets (évaluation des poids et mesure) révélèrent entre autres que les Ormes changeaient de poids et d’aspect en fonction de la chaleur et du froid auxquels ils étaient soumis. L’amplitude des variations mesurées représentait de 56% à 400% de leurs poids originel ce qui stupéfia les scientifiques. Les expériences furent répétées par plusieurs labos dans différents pays avec toujours les mêmes résultats sidérants.

Supraconducteur hors-normes

Les ORMES se définissent pour le moment comme "éléments exotiques". Leur existence, bien que non validée par la communauté scientifique approuverait un quatrième état de la matière n'étant par définition, ni solide, ni liquide ni gazeux, cet état fut nommé "état-M". Ils sont dérivés de métal et ne sont rien de moins que les éléments du tableau de Mendeleiev dans une forme surpassée.

Au début des années 90, les scientifiques en arrivèrent aux conclusions suivantes : les Ormes ont des attributs de supraconductivité (même la lumière peut être transmise par eux) et selon la température à laquelle ils sont soumis ils semblent léviter. Ces éléments échappent partiellement aux champs de force et flottent magnétiquement. Ce sont des supraconducteurs naturels repoussant les pôles magnétiques Nord et Sud, la substance peut devenir invisible, échapper à notre perception classique de l’espace et influer sur cette dimension de l’espace-temps. Pour exemple : « Hudson dit que, si l’Ormus est chauffé à 850º Celsius, celui-ci disparaîtra et il perdra tout son poids. Lorsque la température baisse à nouveau, il réapparaît et il retrouve la majorité de son poids antérieur. » Barry Carter, chercheur sur les éléments Ormus déclare : « Dans le domaine de la physique quantique, les scientifiques ont récemment confirmé que la matière peut en effet se trouver à deux endroits simultanément. Nous savons maintenant que, à cause de « l’enchevêtrement » quantique, des particules qui se trouvent à des millions d’années-lumière l’une de l’autre peuvent être en relation sans contact physique. » Ces matériaux apparaissent comme étant la clé de voute entre la science et l’esprit… Tous ces éléments à l'état-M sont très abondants dans l’eau de mer, particulièrement celle de la Mer Morte. Ils semblent aussi être présents dans des roches (granit), dans l'eau douce et dans l'air. Selon les recherches de David Hudson, ces éléments dans leur état-M peuvent être 10.000 fois plus abondants que leurs homologues métalliques, et il peut y avoir également d'autres éléments qui sont présents naturellement à l'état-M. Ces éléments à l’état-M sont également présents dans des systèmes biologiques. Des analyses complexes sur des végétaux ont été faites et ont permis de révéler un fort taux d’Ormus, particulièrement dans la sève de l’Aloé vera poussant en sol volcanique. L’Aloé est d’ailleurs un excellent activateur pour hormones racinaires.

Des noix comme des mandarines

S’il est difficile d’obtenir des données scientifiques sur la santé humaine, celles issues des expériences sur les plantes sont incontestables. Vous pourrez ainsi vous en rendre compte avec ce même titre, plusieurs sites internet sont là pour en témoigner. En agriculture, la préparation la plus courante, mais aussi la plus simple et la moins chère, consiste en un concentré obtenu à partir de l’eau de mer. L’intérêt des produits de la mer, en particulier celui des algues, est connu en agriculture depuis des décennies. Avec l'Ormus, on a constaté qu’un noyer traité pendant plusieurs années avait atteint deux fois la taille des autres et produit six fois plus de noix . Quand aux noix elles-mêmes, elles étaient grosses comme des mandarines ! Des augmentations de production ont également étaient observées la deuxième année et les suivantes, ceci grâce à l’enrichissement naturel des sols et leur teneur en mycorhyzes.

Méconnu dans notre communauté en france, mais approuvé aux USA Chez nos confrères growers américains, les extraits rares des fonds marins ou l’Ormus sont largement reconnus et utilisés. Il y a de nombreuses marques qui proposent cet amendement miraculeux pour la cultures des plantes, et particulièrement dans le domaine de la Marijuana, cette fameuse plante qui ouvre aussi les consciences.. On retrouve l’Ormus sous forme pure en extrait sec et aqueux ou bien combiné à une solution biodynamique associant des acides aminés et des EMa par exemple. Dés lors on le retrouve même dans certains protocoles de culture de cannabis thérapeutique, allant aussi jusqu’à l’ingestion dans la combinaison avec du RSO. Plusieurs groupes se créer là bas et font beaucoup avancer les réalisations dans la culture en produisant des fleurs magnifiques et aux effets intenses et surprenant ! Il en résulte les constats suivants : • Amélioration de la croissance des plantes. • Développe plus l’effet phototropisme et activation de la photosynthèse. • Aide aux bactéries fixatrices d’azote. • Augmentation de la teneur en glucide dans la sève. • Intensifie les propriétés organoleptiques. • Résistance contre les insectes et les parasites. En somme, une puissance sur la taille, le poids et la résine.

Alors, de l’or blanc dans nos jardins ?

Plus de 90 minéraux nutritifs essentiels à toute forme de vie ! Donc, notre plante a de quoi faire exploser son potentiel génétique car elle à accès à des éléments qui peuvent être absents de son environnement actuel. Depuis plusieurs années, j’utilise avec ravissement cet élément atypique dans le jardin. Sur tout support de culture, l’association avec un engraissage minéral ou végétal est possible, mais il est à noter que l’Ormus s’intègre mieux dans un sol vivant, riche et varié en composés organiques, participant à sa « nutrition » tout en symbiose avec la faune et la flore de celui-ci. Mes dosages sont de 0,5 à 1 ml pour 5 l d’eau en pulvérisation et arrosages. Pour les cultures en table à marée, j’incorpore 10 ml à 100 l de solutions. Dernièrement, j’ai oser adjoindre 1 ml/ l en hydro, mais avec une eau à l’EC très faible (0,60) et les résultats sont magistrales ! Un excellent article, issus de Nexus (num 50) et peut-être même l’unique date de 2007. Écrit par le Dr. Roger Taylor, un immunologiste britannique à la retraite qui à étudié l’Ormus et ses effets sur les plantes. Il est ainsi passionnant d’en connaître plus sur l’Ormus tout en le réalisant, l’intention véritable faisant briller la création. Auteur: Botaquantik

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